26 Jun 2011

La riqueza se va, la pobreza se queda: La minería en el Perú

La Jalca De Oro: Biodiversidad, medio ambiente y minería en la Sierra de Cajamarca - PerúEl Perú, un país latinoamericano, que tiene por una lado enormes riquezas y oportunidades y, por otro lado una pobre existencia del Estado en lugares lejanos donde la pobreza y los conflictos sociales se incrementan cada día, por la incapacidad de dialogo de parte de las autoridades.

Recientemente el conflicto en Puno ( al sur del Perú), es una clara demostración que las autoridades están imponiendo que se explote los recursos mineros, sin respetar la convención 169 de la OIT( protección a sus derechos de las poblaciones indígenas)[1], donde los pobladores demandan es el respeto sus medio ambiente, no a la contaminación del agua, sus tierras, etc.

Las compañías mineras, que ya están instaladas hace varias décadas, no están respetando las mínimas condiciones de sus trabajadores (mala implementación de seguridad, remuneraciones irrisorios, sin derechos laborales, sin seguridad social, muy poca responsabilidad social, no les interesa el medio ambiente, etc); contaminando así  un recurso vital, las fuentes de agua; recursos que los pobladores son dependientes directos para sus actividades diarias y fuente de vida ( agricultura, alimentación, ganadería, etc).

A continuación el reportaje: La riqueza se va, la pobreza se queda: La minería en el Perú de Ralph Weihermann y Mirjam Leuze. que retrata las consecuencias de la explotación minera en Cajamarca ( Norte del Perú); por parte de la minera Yanacocha, la mina de oro más grande de Sur América.
Sinopsis: A pesar del boom minero que el Perú vive desde hace varios años, la gran parte de la población sigue viviendo en pobreza.

Actualmente hay aproximadamente 250 minas activas en el Perú, para la población en zonas mineras, eso significa muchas veces contaminación de recursos importantes como el agua y el suelo por el uso de sustancias tóxicas, problemas sociales por el uso conflictivo de la tierra y del agua y por no respetar los derechos básicos por parte del estado y de las empresas mineras. Los proyectos mineros muchas veces amenazan estructuras económicas existentes como la agricultura sin ofrecer ellos mismos una perspectiva a largo plazo. La minería es un tema conflictivo por ser económicamente necesaria y tener impactos muy negativos.
Director: Ralph Weihermann.
Género y duración: Cortometraje - Documental, 23 min.
País: Perú
Año: 2006
Calificación: may. 14 años.[2]

Sin lugar a duda los conflictos sociales continuarán por la misma razón que un avance involucra la creación de carreteras, creación de infraestructuras de obras privadas y públicas; a lo que se tiene que aportar con información clara a su debido tiempo, para evitar o reducir los efectos negativos de las explotaciones mineras; por lo que el estado, la sociedad civil, los colegios profesionales tienen que cumplir un rol activo aportando posibles soluciones para evitar que la que la pobreza se quede y siga creciendo, mientras los que se hacen rico se van.

Referencia:
[1]Survival.org (aceso 26/06/2011) 
[2] Archive.org (aceso 26/06/2011)

25 Jun 2011

Un monde à vendre: Les monstrueux animaux de la génétique

Cauchemar génétiqueUn documentaire d'ARTE TV: Un monde à vendre – Les monstrueux animaux de la génétique

Le génie génétique est, plus que jamais au centre de la polémique, et ce, malgré ses promesses. Quels risques y a t-il pour nos modes de vie et notre environnement ? On notera que la multinationale Monsanto est une énième fois montrée du doigt, principalement pour leur manque d’éthique … 

Au milieu des années 1980, grâce au développement des biotechnologies, les scientifiques débutent la création d’animaux « à la carte » : chèvres produisant de la soie, vaches encore plus productrices de lait, poulets sans plumes, cochons si gros qu’ils ne peuvent supporter leur poids … 

Une nouvelle source de profits se dessine pour les hommes sans consciences, à condition bien entendu, d’obtenir les autorisations pour commercialiser ces animaux génétiquement modifiés. La filiale canadienne de la société Aqua Bounty (USA) était sur le point d’obtenir cette autorisation pour ses saumons stériles géants, produits de manipulations génétiques. 

Ces poissons d’élevage sont six fois plus gros et atteignent leur taille adulte deux fois plus vite que les espèces sauvages. Deux cents millions d’Américains (cobayes) en consomment déjà sans le savoir. 
Génétique : Un monde à vendre (documentaire ARTE) Durée : 58mn Date de diffusion : Avril 2010

17 Jun 2011

Un soplo para la ciencia

Physics and Chemistry of Photochromic Glasses (Laser & Optical Science & Technology) Para fabricar los prototipos o de material muy especifico, el CNRS[1] y otros organismos de investigación publica hacen uso de sopladores de vidrio.

Este fragmento del film (en francés) Un souffle pour la science (Un soplo para la ciencia) , rinde homenaje a estos hombres qui hacen, en vidrio, en pirex o en cuarzo, los aparatos para muchos laboratorios de química o de física.
Date création : 08/11/1999
Referencia:  
[1] CNRS

15 Jun 2011

Pentagone Papers: Publication sur la guerre au Vietnam

«Time» de 1971
Le public peut désormais avoir accès aux "Pentagone Papers" (Papiers du Pentagone), un rapport extrêment confidentiel du gouvernement américain sur la guerre au Vietnam, et ce sur Internet ou à la Bibliothèque présidentielle Richard Nixon de Yorba Linda, Californie.

Les 7.000 pages de ce rapport intitulé "Relations Etats-Unis-Vietnam 1945-1967 : étude réalisée par le Département de la Défense", ont été officiellement rendues publiques le 13 juin dernier par l'Office national des archives des Etats-Unis, 40 ans après qu'une partie de celui-ci ait été révélée.

Ce dernier a été rédigé en juin 1967 à la requête de Robert MacNamara, secrétaire américain à la Défense, afin de disposer d'un historique de la guerre du Vietnam. Une partie de celui-ci, qui lui a donné son nom de "Pentagon papers", a été publiée pour la première fois en 1971 à la Une du "New York Times". Fourni par Daniel Ellsberg, un vétéran de l'U.S. Marine Corps, ils ont établi publiquement que l'administration du président Lyndon Johnson n'a cessé de mentir au peuple américain comme au Congrès sur l'ampleur de l'engagement des Etats-Unis au Vietnam. Cette publication a alors entraîné une grande vague de contestation de la guerre du Vietnam, obligeant Lyndon Johnson à ne pas se présenter à une deuxième élection présidentielle.

Selon l'analyste militaire Ellsberg, il ne faut cependant pas s'attendre à de nouvelles révélations dans ce rapport de 7.000 pages car la plupart de ses éléments ont déjà été présentés lors de commissions d'enquête ou d'information organisées par le Congrès américain, ou sous d'autres formes durant ces 40 dernières années...

En comparaison des "Pentagon Papers" publiés en 1971 par le sénateur démocrate de l'Alaska, Mike Gravel, les documents désormais accessibles comptent 2.384 pages supplémentaires, mais il manque de nombreuses parties par rapport à ceux publiés en 1971 par le Comité des Forces armées de la Maison des représentants, chambre basse du Congrès américain. Si cette année-là, Ellsberg n'a pas révélé la partie relative aux négociations de paix entre l'administration américaine et le Vietnam, elle l'a été par la suite.[1]

Le Pentagon Papers, officiellement intitulée «Report of the Office of the Secretary of Defense Vietnam Task Force", a été commandé par le secrétaire à la Défense Robert McNamara en 1967. En Juin 1971, de petites parties du rapport ont été divulgués à la presse et largement diffusé. Toutefois, les publications du rapport qui ont résulté de ces fuites étaient incomplètes et a souffert de nombreux problèmes de qualité. Ce qui est unique à ce sujet, par rapport à d'autres versions, c'est que:
  • Le rapport complet est maintenant disponible sans suppressions par rapport aux versions précédentes
  • Le rapport est présenté comme Leslie Gelb, puis l'a présenté au secrétaire à la Défense Clark Clifford le 15 Janvier 1969
  • Tous à l'arrière supplémentaire-documentation est incluse. Dans l'édition de gravier, 80% des documents dans la partie V. B n'ont pas été inclus
  • Cette version inclut le compte rendu complet des négociations de paix, dont des parties importantes n'étaient pas disponibles auparavant, soit dans le "House Armed Services Committee" une copie rédigée du rapport  ou à l'édition Gravel .[2]
Files ( en format pdf)
TitleFile SizeARC ID
Index(3.84 MB)5890484
[Part I] Vietnam and the U.S., 1940-1950(121 MB)5890485
[Part II] U.S. Involvement in the Franco-Viet Minh War, 1950-1954(46.1 MB)5890486
[Part III] The Geneva Accords (66 MB)5890487
[Part IV. A. 1.] Evolution of the War. NATO and SEATO: A Comparison (26.3 MB)5890488
[Part IV. A. 2.] Evolution of the War. Aid for France in Indochina, 1950-54 (17.7 MB)5890489
[Part IV. A. 3.] Evolution of the War. U.S. and France's Withdrawal from Vietnam, 1954-56 (35.2 MB)5890490
[Part IV. A. 4.] Evolution of the War. U.S. Training of Vietnamese National Army, 1954-59 (53.3 MB)5890491
[Part IV. A. 5.] Evolution of the War. Origins of the Insurgency (185.8 MB)5890492
[Part IV. B. 1.] Evolution of the War. Counterinsurgency: The Kennedy Commitments and Programs, 1961 (90.9 MB)5890493
[Part IV. B. 2.] Evolution of the War. Counterinsurgency: Strategic Hamlet Program, 1961-63 (27 MB)5890494
[Part IV. B. 3.] Evolution of the War. Counterinsurgency: The Advisory Build-up, 1961-67 (74 MB)5890495
[Part IV. B. 4.] Evolution of the War. Counterinsurgency: Phased Withdrawal of U.S. Forces in Vietnam, 1962-64 (29.3 MB)5890496
[Part IV. B. 5.] Evolution of the War. Counterinsurgency: The Overthrow of Ngo Dinh Diem, May-Nov. 1963 (55.6 MB)5890497
[Part IV. C. 1.] Evolution of the War. U.S. Programs in South Vietnam, November 1963-April 1965: NASM 273 -- NSAM 288 -- Honolulu (73 MB)5890498
[Part IV. C. 2. a.] Evolution of the War. Military Pressures Against NVN. February - June 1964 (38.7 MB)5890499
[Part IV. C. 2. b.] Evolution of the War. Military Pressures Against NVN. July - October 1964 (48 MB)5890500
[Part IV. C. 2. c.] Evolution of the War. Military Pressures Against NVN. November - December 1964 (57.1 MB)5890501
[Part IV. C. 3.] Evolution of the War. ROLLING THUNDER Program Begins: January - June 1965 (92.9 MB)5890502
[Part IV. C. 4.] Evolution of the War. Marine Combat Units Go to DaNang, March 1965 (22.4 MB)5890503
[Part IV. C. 5.] Evolution of the War. Phase I in the Build-up of U.S. Forces: March - July 1965 (68.7 MB)5890504
[Part IV. C. 6. a.] Evolution of the War. U.S. Ground Strategy and Force Deployments: 1965 - 1967. Volume I: Phase II, Program 3, Program 4 (72.3 MB)5890505
[Part IV. C. 6. b.] Evolution of the War. U.S. Ground Strategy and Force Deployments: 1965 - 1967. Volume II: Program 5 (116.4 MB)5890506
[Part IV. C. 6. c.] Evolution of the War. U.S. Ground Strategy and Force Deployments: 1965 - 1967. Volume III: Program 6 (47 MB)5890507
[Part IV. C. 7. a.] Evolution of the War. Air War in the North: 1965 - 1968. Volume I (106.5 MB)5890508
[Part IV. C. 7. b.] Evolution of the War. Air War in the North: 1965 - 1968. Volume II (101.4 MB)5890509
[Part IV. C. 8.] Evolution of the War. Re-emphasis on Pacification: 1965-1967 (534 MB)5890510
[Part IV. C. 9. a.] Evolution of the War. U.S.-GVN Relations. Volume 1: December 1963 - June 1965 (325.1 MB)5890511
[Part IV. C. 9. b.] Evolution of the War. U.S.-GVN Relations. Volume 2: July 1965 - December 1967 (309.5 MB)5890512
[Part IV. C. 10.] Evolution of the War. Statistical Survey of the War, North and South: 1965 - 1967 (103.4 MB)5890513
[Part V. A.] Justification of the War. Public Statements. Volume I: A--The Truman Administration (386.8 MB)5890514
[Part V. A.] Justification of the War. Public Statements. Volume I: B--The Eisenhower Administration (190.6 MB)5890515
[Part V. A.] Justification of the War. Public Statements. Volume I: C--The Kennedy Administration (164.7 MB)5890516
[Part V. A.] Justification of the War. Public Statements. Volume II: D--The Johnson Administration (496.1 MB)5890517
[Part V. B. 1.] Justification of the War. Internal Documents. The Roosevelt Administration (309.4 MB)5890518
[Part V. B. 2. a.] Justification of the War. Internal Documents. The Truman Administration. Volume I: 1945 - 1949 (121.5 MB)5890519
[Part V. B. 2. b.] Justification of the War. Internal Documents. The Truman Administration. Volume II: 1950 -1952 (138.5 MB)5890520
[Part V. B. 3. a.] Justification of the War. Internal Documents. The Eisenhower Administration. Volume I: 1953 (134.4 MB)5890521
[Part V. B. 3. b.] Justification of the War. Internal Documents. The Eisenhower Administration. Volume II: 1954 - Geneva (223 MB)5890522
[Part V. B. 3. c.] Justification of the War. Internal Documents. The Eisenhower Administration. Volume III: Geneva Accords - 15 March 1956 (190.8 MB)5890523
[Part V. B. 3. d.] Justification of the War. Internal Documents. The Eisenhower Administration. Volume IV: 1956 French Withdrawal - 1960 (156.2 MB)5890524
[Part V. B. 4.] Justification of the War. Internal Documents. The Kennedy Administration. Book I (196.3 MB)5890525
[Part V. B. 4.] Justification of the War. Internal Documents. The Kennedy Administration. Book II (103.1 MB)5890526
[Part VI. A.] Settlement of the Conflict. Negotiations, 1965-67: The Public Record (42 MB)5890527
[Part VI. B.] Settlement of the Conflict. Negotiations, 1965-67: Announced Position Statements (140.7 MB)5890528
[Part VI. C. 1.] Settlement of the Conflict. Histories of Contacts. 1965-1966 (90.9 MB)5890529
[Part VI. C. 2.] Settlement of the Conflict. Histories of Contacts. Polish Track (71.4 MB)5890530
[Part VI. C. 3.] Settlement of the Conflict. Histories of Contacts. Moscow-London Track (74 MB)5890531
[Part VI. C. 4.] Settlement of the Conflict. Histories of Contacts. 1967-1968(139.9 MB)5890532
References:
[1] L'Agence Vietnamienne d'Information (AVI) ( Date d'acces 14/06/2011)
[2] National Archive ( Date d'acces 14/06/2011)

13 Jun 2011

José Luis Sampedro: El sistema a fracasado

Le fleuve qui nous emporteJosé Luis Sampedro: nació en Barcelona en 1917, entre los años 1936 -1939, durante la Guerra Civil, Sampedro es un hijo de la derecha educado y por entonces, entiende que el socialismo implicaba anarquía. Es movilizado por el ejército republicano. Después se incorpora al llamado ejército nacional.pasa la guerra en Melilla, Catluña, Guadalajara y Huete (Cuenca), estas convulsiones las calma con la escritura de poesía.

En 1940, realiza sus estudios de Ciencia Económicas, consiguiendo la Licenciatura con Premio Extraordinario, en 1947. Al acabar la guerra, escribe su primera novela, La estatua de Adolfo Espejo que no será publicada hasta 1994. En 1948 entra en el Servicio de Estudios del Banco Exterior de España. Escribe su primera obra de teatro "La paloma de cartón".

En 1951 es Asesor del Ministro de Comercio. Escribe sus dos primeras obras de economía: "Principios prácticos de localización industrial" y "Efectos de la unidad económica europea". Entre 1955-1958 fue Catedrático de Estructura Económica, puesto que ocupará hasta 1969. Compagina esta actividad con la de economista en el Banco Exterior, donde se ocupa de crear un servicio de estudios.

En 1969-70 ante las deportaciones de catedráticos de la Universidad de Madrid, decide aceptar un puesto de "Visiting Profesor" en las universidades inglesas de Salford y Liverpool. A su vuelta pide la excedencia en la Universidad de Madrid y publica "El caballo desnudo", una sátira que le permitirá desahogar sus frustraciones ante la situación del país.[1]

En los vídeos que usted podrá ver a continuación, habla los problemas mundiales, la economía y políticas que quieren dominar unilateralmente que no toman medidas adecuadas para solucionar los problemas, es por eso que el José Luis Sampedro dice que el sistema a fracasado.

"...concluye diciendo que si los que pueden distribuir, no quieren y lo están demostrando todos los días, con estas proporciones redículas de ayuda al desarrollo y, los que quieren que se reparta no pueden, de modo que tal como estas la cosas, sino se cambia las decisiones no hay nada que hacer..."     
El Sistema a Fracasado
Parte I
 
Parte II

Parte III
¿Cuál es vuestra apreciación?
Referencia
[1] Clubcultura.com

11 Jun 2011

Revolución: El cruce de los Andes

Definitivamente, la película "Revolución, el Cruce de los Andes", escenifica la gran obra del Gral José de San Martin, el Libertador de Chile, Argentina y Perú; sin lugar a dudas esta película, que debe ser recomendada a verla a todos(as) y todas los(as) latinoamericanos(as), pues invita a la reflexión de esos grandes hombres que lucharon por la libertad Latinoamericana.

Mientras leía un articulo sobre "La troisième révolution Energétique" (La tercera revolución Energética), por alguna casualidad, un amigo, me comento sobre una película "Revolución", por lo que mi curiosidad tenia que satisfacerla,  decidí ir tras ella y compartirla con ustedes.
Trailer


La Película
1880, Buenos Aires. En una pensión perdida, un periodista entrevista a uno de los últimos hombres vivos que cruzaron los Andes junto a San Martín. Manuel Esteban de Corvalán contaba con 15 años en ese entonces, y por saber leer y escribir fue uno de sus secretarios.

Su relato nos permitirá adentrarnos en una de las mayores hazañas de la historia militar universal, el cruce de los andes por un ejército de 5200 hombres, desde cuyo hacia Chile, y en la intimidad de su líder y conductor, uno de los hombres mas grandes que la revolución haya engendrado.

José Francisco de San Martín. El revolucionario, el republicano, el hombre de la Ilustración, el masón. El de la mala salud de hierro. El genio militar que comparan con Aníbal, con Napoleón. El estratega político. El Gran Capitán.

El retrato que nos ofrece Corvalán de San Martín y del cruce, de sus dificultades y peripecias, de la batalla de Chacabuco y de sus compañeros de armas, difieren de lo que el periodista entiende como patria, prócer, nación e historia, devolviéndole a la revolución el carácter americano que tuvo en sus orígenes.[1]

Título: Revolución. El cruce de los Andes
Origen: Argentina Año: 2010
Duración: 95 minutos
La película completa


Sin lugar a dudas es una gran producción cinematográfica de la historia Argentina, e incluso Latinoamericana; muy interesante, emocionante, por la forma como se esta desarrollando hoy en día los países sudamericanos y lo que significó la hazaña del Libertador el Gral. José de San Martín.  Un hombre que luchó y logro la libertad de Chile, Argentina y Perú, de las fuerzas españolas. 

Ahora que usted latinoamericano(a), conocedor de su historia y acaba de ver la película; no creo que se haga la misma pregunta que el senegalés, quien participo en esta película. ¿Quién es San Martín?.

Seguro que a muchos(as) les motivará [Re]leer unos libros de historia, por mi parte continuare con lo mio. ¿Cuál es vuestra percepción de dicha película?. 

Referencias: 
[1]Revolucionlapelicula.com
[2]Mapaeducativo.edu.ar
____________________________________________________________
Extras
Historia: 
El cruce de los Antes Un par de años antes de que el Congreso de Tucumán declarara la independencia, San Martín había sido designado (enero de 1814) como responsable de la fuerza que defendía la frontera norte de los avances realistas. Esta experiencia, no sólo le permitió comprender que en esa zona resultaban más eficaces las tropas irregulares de paisanos patriotas que el ejército formal, sino que también le dio la posibilidad de ultimar un plan de invasión al Alto Perú (centro del poder español).

Todos los intentos previos habían demostrado que cada vez que un ejército realista descendía del altiplano hacia los valles de Salta, era derrotado y, cada vez que un ejército patriota ingresaba en el Alto Perú, también era derrotado.

En consecuencia, entre 1814 y 1816, San Martín conformó un plan alternativo: llegar a Lima a través de la vía del Pacífico. Para ello debía cruzar los Andes, vencer a los españoles en Chile y organizar en forma conjunta una expedición que desembarcara en Lima: "... la patria no hará camino por este lado del norte... ya le he dicho a usted mi secreto: un pequeño ejército y bien disciplinado en Mendoza para pasar a Chile y acabar allí con los godos... Aliando las fuerzas pasaremos por el mar para llegar a Lima. Ese es el camino y no este...", escribió a Godoy Cruz el 10 de agosto de 1814.[2]
  Making of

10 Jun 2011

Fontainebleau: Forêt de paradoxes

The Best of FranceLa forêt de Fontainebleau est un ensemble d'écosystèmes complexes, riche d'espèces végétales et animales spectaculaires ou discrètes, certaines devenues très rares en France et même en Europe, qui forment un surprenant patrimoine.

La forêt de Fontainebleau est un ensemble d'écosystèmes complexes, riche d'espèces végétales et animales spectaculaires ou discrètes, certaines devenues très rares en France et même en Europe, qui forment un surprenant patrimoine parce que le massif offre une grande diversité de milieux aux conditions écologiques contrastées. 

Voici l'extrait du film:Fontainebleau.





Le film retrace l'histoire géologique de la forêt avec le dépôt d'immenses quantités de sable marin, la formation de grandes dunes parallèles, de dalles de grès et de chaos de blocs aux formes extraordinaires. Puis c'est la vie de la forêt, forêt naturelle, laissée à elle-même, en quelques endroits, depuis des siècles, mais aussi forêt exploitée au cycle simplifié avec pour conséquence un appauvrissement des milieux ouverts. Situation paradoxale : une gestion réussie de la forêt doit concilier la rentabilité de l'exploitation, la survie de toutes les espèces vivantes et l'accueil de 13 millions de visiteurs par an.[1]

Référence: 
[1] CNRS  (date d’accès 10/06/2011)

9 Jun 2011

Transgénicos: moratoria por 10 años

El Pleno del Congreso peruano, aprobó la moratoria por 10 años al ingreso de los cultivos Transgénicos a territorio Peruano.

Además se pone fin a la cúpula transgénica que aprobó el reglamento de bioseguridad, cuyos integrantes dimitieron por denuncias periodísticas sobre intereses particulares, empezando por el ex ministro de Agricultura Rafael Quevedo y sus asesores Dow Hers Seiner, Alexander Grobman y César Paredes Piana (ex jefe del INIA).[1]

El legislador Washington Zeballos estimó que lo aprobado en el tema de transgénicos será promulgado por el Ejecutivo. Resaltó que los legisladores apristas votaron a favor de la moratoria, aunque no coincidieron en los plazos. La propuesta excluye de la moratoria la investigación y el uso en fármacos. El Ministerio del Ambiente establecerá el ordenamiento territorial ambiental. La prohibición no se aplicará a la importación de alimentos. Además, se derogó el polémico decreto supremo (D. S. N° 003-2011-AG)[2]

Mayor información: Dossier Transgénicos (OGM)
                               Debate Transgénicos (OGM)

Referencias:
[1] Diario La republica.pe
[2] Diario El comercio.pe

3 Jun 2011

Chroniques du plancton: Pleurobrachia

Impact of formalin preservation on Pleurobrachia bachei (Ctenophora) [An article from: Journal of Experimental Marine Biology and Ecology]Dans le cadre de la journée mondiale des océans du 8 juin, voici le film court Pleurobrachia de la série Chroniques du plancton. Cette de films courts dévoile tout un éventail d'organismes planctoniques collectés en Méditerranée et dans l'Océan Indien durant la première année d'expédition de la goélette Tara. Pleurobrachia propulsé par huit rangées de peignes, pleurobrachia déploie deux longs tentacules pour pêcher des crustacés. Il s'agit de l'espèce la plus ancienne connue à avoir développé un système neurosensoriel. En l'étudiant, les biologistes espèrent découvrir comment sont apparus les premiers neurones. [1]


Référence: 

[1] CNRS (Date d’accès 03/06/2011)

1 Jun 2011

Julio Cotler: Acabó el ciclo histórico de los partidos más antiguos del Perú

Julio Cotler: Acabó el ciclo histórico de los partidos más antiguos del Perú
Julio Cotler. Sociólogo. Por ser de interés en días previos a la segunda vuelta, reproducimos con su autorización esta entrevista difundida en la revista Argumentos del Instituto de Estudios Peruanos (IEP).*

¿Cómo interpretas los resultados de la primera vuelta? ¿Son resultado de los procesos más “profundos” que están pasando en el país –el tipo de crecimiento económico, la desigualdad– o más bien la consecuencia de una campaña electoral abierta a lo contingente?
Bueno, yo considero que se trata de las dos cosas simultáneamente. Hay un aspecto estructural, que es el que marca la cancha en la que los jugadores se desenvuelven, y un aspecto contingente, el de los jugadores y lo que estos hacen. En esta última dimensión hay “Messis” y hay “Toledos”, el contendor Toledo tenía todas las de ganar y se dedicó sistemáticamente a meterse autogoles, y en la medida que él se destartalaba, Humala era el que crecía. Sin embargo, Humala no es una casualidad…

Es decir, era un candidato con alta votación potencial.
Así es. Kuczynski tampoco es casualidad, hay algunas caras que representan determinadas situaciones estructurales, es innegable. Si él se lanzó fue porque había gente a su alrededor y porque era la representación más clara de “el modelo”. No era Toledo, que iba a ser un intermediario con los banqueros, sino que ibas a tener al banquero trabajando directamente en el Gobierno, con lo cual el poder fáctico tomaba el control de la situación. Pero bueno, pues, el señor Toledo falló y al señor Kuczynski le faltó tiempo para penetrar en C y D, o a lo mejor no tenía capacidad para hacerlo. Es muy difícil que una persona como Kuczynski penetre en esos sectores, simplemente por razones físicas, ni siquiera se trata de un problema ideológico.

Justamente, alguna gente se preguntaba “¿cómo es que Julio Cotler ha dicho que Kuczynski puede tener posibilidades cuando representa al Perú ‘blanco’, transnacional, más enganchado al modelo?”. Era una candidatura, digamos, muy elitista. 
Exacto, pero sin embargo te das cuenta de que ahora, en este momento, la mitad de la población está votando por esos asuntos. 

Pensar que era una candidatura inviable desde el principio era como pensar que el sector A y B, el de los “blancos”, no tiene poder e influencia en este país... ¡caramba! Retomando, hay una situación estructural y hay una situación contingente, y la situación estructural en el Perú es muy marcada, y cada vez lo es más. Porque aquí hay o la “gran transformación” o no hay nada. En vez de hacer una serie de cambios graduales y sostenidos en el Perú, se presentan este tipo de alternativas. El techo para poder realizar reformas, reformas puntuales, es realmente muy alto, es impresionante...

Hasta ahora hablamos de Toledo, Kuczynski y Humala. ¿Tú te imaginaste que Keiko Fujimori iba a entrar a segunda vuelta?
No, no lo pensé. Yo pensaba que iba a haber una división del electorado entre varios candidatos, y que estos tendrían alrededor de 20% de la votación cada uno, cinco equipos oscilando entre 18 y 22, y entre ellos estaría Keiko Fujimori. En ese escenario, no le daba muchas esperanzas, pero el fujimorismo demostró tener un electorado duro, a diferencia del resto, que subían y bajaban muy drásticamente. Esa terminó siendo su fortaleza.Ahora, perdido Kuczynski, la gente que votó por él en primera vuelta votará por ella en la segunda. Entonces te encuentras con una muy buena coalición, los “liberales a la peruana” aliados con los fujimoristas. Esa va a ser la peor imagen que yo puedo tener de todo esto…

Para cerrar sobre la primera vuelta, ¿qué comentarios te suscitan los candidatos chicos? Por ejemplo, Rodríguez Cuadros de Fuerza Social o la candidatura fallida de Mercedes Aráoz con el APRA?
Para mí acabó el ciclo histórico de los partidos más antiguos del Perú. Mira dónde está el PPC, mira dónde está el APRA, mira dónde está Acción Popular, dónde está Patria Roja o los partidos que integraron la Izquierda Unida. Todas esas son cosas que se acabaron con los años ochenta, y hoy te encuentras con lo que queda de ellas, y lo que queda en el caso del APRA es Alan García.

Creo que no se ha hablado lo suficiente de la situación a la que ha llegado el APRA; es una cuestión impresionante, es una historia política de los últimos ochenta años en el Perú que se acabó.

Después del desastre del gobierno 85-90 del APRA, Luis Alva Castro logró sacar 22% en las elecciones presidenciales. ¿Y ahora?
¡Y hoy no pueden tener candidato! La lealtad aprista todavía alcanzaba en el año noventa. Es decir, este partido surge en una época de fuertes identidades políticas, en la misma en la que Fidel Castro decía la famosa frase: “En la revolución todo, fuera de la revolución nada”, mientras que los apristas gritaban “¡Solo el APRA salvará al Perú!”. Esa es una generación que acabó, hay ciclos históricos para determinados partidos, para determinadas plataformas y para determinadas generaciones. ¿Qué es lo que te dicen hoy los dirigentes del partido? Que hay que hacer una renovación de cuadros, pero siguen pensando en la forma “partido”, de algo que surgió en una época histórica en la que no había Internet o la televisión no había penetrado como hoy. Están pensando en que pueden reproducir el tipo de organización aprista que tenían hace sesenta, setenta años…

¿Y cómo ves la esperanza de construir un partido socialdemócrata alrededor de Fuerza Social?
No, no la veo. Nuevamente es la vieja generación; piensa en quiénes son y cuántos años tienen. Mírales las caras, son los mismos de los años setenta.

¿Y esta nueva generación que integran Gustavo Guerra o Eduardo Zegarra?
Eso no es una nueva generación, esa es gente que podría estar tranquilamente con Toledo, les correspondería estar con Toledo. Este es un país muy segmentado…

De cara a la segunda vuelta, la necesidad de ganar votos está haciendo que Ollanta Humala ya no hable de asamblea constituyente o de cambio radical del modelo económico y que Keiko Fujimori ofrezca disculpas y prometa respetar los derechos humanos. ¿Esto es oportunismo electoral o la política está funcionando para moderar a ambos candidatos? 
Hay algo en lo que yo vengo insistiendo. Me dicen que Humala está ocultando sus verdaderas intenciones, que son llegar y convocar a un referéndum, a una asamblea constituyente, y todo lo demás. Frente a eso yo insisto: Chávez y Morales, como Fujimori en los noventa, entran en condiciones sociales y políticas catastróficas en sus países. En esas condiciones catastróficas la gente lo que quiere es un salvador que resuelva los problemas, y para ello está dispuesta a tolerar y aprobar muchas medidas extremas. Ahora no tenemos ninguna situación catastrófica, y tenemos un Congreso que está absolutamente partido en cinco pedazos, por lo que van a ser muy difíciles las negociaciones para uno y otro lado. Sin embargo, en el caso de Keiko Fujimori creo que ella tiene mayores posibilidades, porque va a tener a todos los poderes prácticamente a su favor.

¿Mayores posibilidades electorales en segunda vuelta?
¡Posibilidades electorales y de Gobierno! Ahí vas a tener las cosas más horrorosas del mundo, van a poner educación religiosa obligatoria, el servicio militar obligatorio.

Hablando del escenario con Keiko presidenta, ella ha comentado que tiene como referentes a Lula y a Uribe…
Uribe, qué extraño. Bueno, creo que en realidad no sabe de lo que está hablando, pero pese a ello reivindicar la influencia de Uribe luego de que este tuvo un gobierno denunciado por la presencia de paramilitares en el país y por la corrupción… Pero ellos son eso…

Y en el caso Humala, se habla de Lula y de Chávez. Pero no habría que descartar un Lucio Gutiérrez también, es decir, un gobierno inestable, caótico, incapaz…
Es que es ese el temor. Por eso pregunto ¿quiénes son los políticos? Más que un temor a un Chávez, me preocupa un escenario del tipo Lucio Gutiérrez, en el que los poderes fácticos harían todo lo posible por azuzar ese desorden. Pero si gente con la que yo hablo ya están diciendo que hay que comprar arroz, que hay que sacar los depósitos bancarios. En estos días se supo de aquello de que señoras de clase alta estaban pidiendo bolsas de comida a sus contactos para llevárselas a Fujimori para que ella a su vez las reparta en su campaña. ¡Es el pánico de los “blancos”!

¿Tú crees que el Congreso tenga un papel importante en el próximo Gobierno? Potencialmente podría tenerlo…
Claro sí, sí creo que puede, sobre todo como poder de veto, para llegar a evitar los extremos.

En el escenario de un Poder Ejecutivo sin mayoría en el Congreso hay dos posibilidades: o el Ejecutivo cede y busca concertar o se produce un entrampamiento.
No, Fujimori puede tener la mayoría. Yo insisto en eso, ellos son los que saben. Ya debe tener a estas alturas todo un file sabiendo quiénes van a integrar el próximo Congreso, quiénes son sus esposas, cuándo son sus cumpleaños, dónde estudian los hijos, hasta qué chocolates les gusta. Todo lo necesario para hacerse de una bancada con mayoría en base a transfuguismo. Mientras tanto, en Gana Perú están pensando en un plan de gobierno de doscientas páginas. Están pensando que para hacer una reforma tributaria basta con tener al técnico adecuado para llevarla adelante. ¿Cómo haces para convencer a la gente de la necesidad de una reforma en un país que el principio de solidaridad es casi inexistente? Está historia de las AFP ha hecho saltar a todo el mundo, porque se preguntan ¿por qué diablos yo tengo que pagarle la seguridad social a esta gente que es inútil?

“Reivindicar a Fujimori es una ignominia”

Tú siempre has sido muy crítico del fujimorismo, y en la elección del 2006 fuiste muy crítico con Ollanta Humala…
Bueno, pero en ese entonces representaba al etnocacerismo, racismo puro.
Exactamente, y ahora los votantes indecisos se enfrentan a ese dilema, entre votar por una mujer que representa lo que fue el gobierno de su padre o por un hombre que tiene esta trayectoria.
Para mí esta segunda vuelta es un dilema moral y político, obviamente. Sé que Humala es un militar, que tiene una historia familiar y que el grupo que lo rodea no deja de ser una incógnita, porque el equipo técnico es muy bueno, pero yo no sé quiénes están en su equipo personal y político, quienes serán sus operadores. En fin, es un dilema…

¿Descartas votar en blanco?
No, pero hasta ahora mi rechazo a Fujimori es mayor, porque votar por ella significaría que un país puede pasar por alto todo lo que sucedió en los noventa, durante el gobierno que ella reivindica. Significaría una cosa realmente única. No conozco otro caso de reivindicación electoral de un gobierno de esas características. Por ejemplo, si bien la Concertación perdió las elecciones ante la derecha en Chile, Piñera nunca fue pinochetista. Reivindicar al gobierno de Fujimori sería una ignominia, y me pongo a pensar cómo sería ser gobernado por Martha Chávez, Luz Salgado, Cuculiza, Raffo…

“Humala no podría ejercer un poder muy fuerte...”

¿Cómo te imaginas un gobierno de cada uno de los dos? ¿Uno de Keiko Fujimori sería parecido al de Alan García o sería mucho más conservador? Y en el caso de Humala, ¿te imaginas un escenario de radicalización o un gobierno muy caótico e inestable?
Mira, en el caso de Fujimori yo me pongo a pensar en Rafael Rey como primer ministro. En ese gobierno, por angas o por mangas, hay amnistías para los crímenes de los noventa. Con eso nuevamente vamos a tener una política militarizada, con la Iglesia más conservadora cobrando una importancia tremenda, y todo ello por supuesto con gran apoyo social. Y frente a las protestas, pues sacan a un operador del perfil de Absalón Vásquez, y a los sectores movilizados les pagan o simplemente les mandan a la policías pues. En ese escenario, ¿qué poderes se le van a oponer?
¿Quiénes no los van a apoyar? En el caso de un gobierno de Humala, yo creo que tendría muchas dificultades para ejercer un poder muy fuerte, entre otras razones porque ni él es político ni tiene equipo político, y lo que se requiere para sacar adelante políticas es mucho apoyo político o sectores movilizados.
Si tú quieres sacar ‘Pensión 65’ o sacar el impuesto a las sobreganancias (mineras) vas a enfrentar tal oposición que vas a tener que hacerte de capacidad de reacción y de negociación. Pero una negociación con alguna capacidad de presión, con alguna suerte de amenaza tras de ti. No puedes jugar naipes si no tienes una buena mano, de otro modo el otro contendiente te puede decir: yo quiero esto, y de lo contrario saco todo mi dinero del país y se crea el caos. Frente a eso, ¿qué es lo que tienes para contrarrestar? ¿Quién tiene la experiencia política necesaria para eso?[1].

Referencia:
[1] Diario la República (Perú, 01/06/2011)
Twitter Delicious Facebook Digg Favorites More